Découvrir Madagascar auprès de l’ASEFFEMA a été une expérience humaine incroyable.
J’avais 23 ans à l’époque, et cela a changé ma vie. Depuis, je suis revenue trois fois, et ce
n’est pas fini. J’ai noué des liens qui me sont chers avec les personnes responsables des
centres. Personnellement, j’ai été profondément touchée de voir autant de joie et de
sourire dans des vies parfois si dures.
Les Malgaches m’ont donné sans compter de leur temps, de leurs connaissances, de
leurs joies et de leur amour à chacune de mes visites. J’ai été marraine pendant presque
six ans, et cette aventure n’était pas du tout terminée.Mais quand on m’a fait la proposition,
je n’ai pas pu refuser. La somme demandée à l’année me semblait dérisoire par rapport à
ce que je pouvais essayer d’apporter à cette petite fille.
J’ai aimé la voir grandir à travers des photos et la revoir à chaque fois que j’y retournais.
Chaque visite était une occasion de constater les progrès qu’elle faisait, de partager des
moments précieux avec elle et sa famille, et de renforcer ce lien spécial que nous avions
tissé.
Les expériences vécues sur place, les défis relevés ensemble et les sourires échangés
ont profondément enrichi ma vie. J’ai appris que le bonheur réside souvent dans les
choses simples et que l’amour et la solidarité peuvent transformer les vies, même dans les
circonstances les plus difficiles.
Cette aventure avec l’ASEFFEMA m’a non seulement permis d’aider une enfant à avoir un
avenir meilleur, mais elle m’a aussi apporté une nouvelle perspective sur la vie et sur ce
qui est vraiment important. Revenir encore et encore est devenu une évidence pour moi,
car Madagascar et ses habitants ont pris une place particulière dans mon cœur.

Conseils pour les futurs parrains/marraines

• Auriez-vous des conseils à donner à nos futurs parrains/marraines ? Quels conseils ou recommandations donneriez-vous à quelqu’un qui envisage de devenir
parrain/marraine pour la première fois ? »
Avant de s’engager en tant que parrain/ marraine auprès de l’aseffema il faut comprendre
qu’il ne s’agit pas seulement de donner de l’argent. Les encadrants prennent le temps
d’envoyer des photos et des courriers écrit par les enfants et c’est la moindre des choses
de prendre le temps de leurs répondre et de s’intéresser à leurs parcours.